En conclusion
Force est donc de constater que les cinémas français sont malheureusement victimes de ce confinement, ne faisant pas partie des commerces de première nécessité, ils ne bénéficient d’aucun revenu et sont donc, depuis mars, contraints à la fermeture.
Par conséquent, la période de déconfinement (pas encore actée par le Gouvernement) sera pour eux une période clé pour la reprise de leur activité, en toute sécurité. Il faut retenir deux objectifs principaux pour l’ADRC : assurer une reprise de l’activité progressive et non brutale, et rassurer le spectateur, pour qu’il puisse revenir dans les salles en confiance et avec plaisir, et dans un deuxième temps, avec l’accord de la profession et sous l’égide des pouvoirs publics, éviter tout encombrement en permettant une certaine harmonisation des sorties cinématographiques sur le second semestre ou autoriser des modes d’exposition des films en salles différents de ceux à l’œuvre avant le confinement en développant la multiprogrammation en salles de cinémas.
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